Au nom de quoi une potentielle infériorité ou sensibilité restreinte ou encore une simple différence, pourrait justifier l'administration de telles souffrances ?
De plus, comment pouvons-nous décider arbitrairement de l'existence d'une infériorité ? Par ailleurs, lorsque nous repensons au traitement que nous avons réservé au cours de l'histoire à certains êtres humains au prétexte de différences d'origine, de sexe, de croyance, alors qu'aujourd'hui il est admis que chaque être humain se ressemble plus qu'il ne se différencie ; et que ce genre de différences ne peuvent justifier de telles discriminations ; ne devrait-on pas s'interroger sur notre ressemblance avec nos cobayes actuels ? |
Crédits Photos : C.Keip
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DistributionCréation 2018. Chorégraphie pour 5 danseurs
Chorégraphie : Axel Loubette Création lumières : Erwann Collet Création musiques : Postcoïtum et Axel Danseurs : Géraldine Morlat, Lola Cougard, Naïs Arlaud, Kim Evin, Axel Loubette, Nina Webert (remplaçante) Durée : 55 minutes |
Crédits Photos : JC Mouton
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Coproductions et partenairesAccueils studios : Klap et ENDM à Marseille.
Coproduction et résidence : La Fabrique Mimont à Cannes. Coréalisation et résidence : Théâtre de l'Oulle, Avignon. Soutien administratif : La Fabrique de la Danse, Paris. |
Envrak
"La danse d’Axel Loubette est à la césure entre animalité et humanité, dans cette zone grise de l’inhumaine humanité. Dans une lumière crépusculaire, ancrée dans le sol, au ralenti ou à une vitesse folle, ils déclinent toutes les figures des postures humaines dans les circonstances extrêmes, agression, domination, mais également empathie et entraide." Jean Barak www.envrak.fr/scenes/unite-777-par-axel-loubette/ |
Crédits photos : Jean Barak
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